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Et si la peur était notre pire ennemie ?

Dernière mise à jour : 20 oct. 2020

L'utilité de la peur

La peur a une utilité évidente car elle nous prévient du danger immédiat : retirer la main du feu pour ne pas se brûler, fuir devant un animal en colère, agir dans l'urgence......


Notre cerveau reptilien intervient pour nous protéger.


Cependant, même si la peur a été utile à certains moments de notre vie, nous ne sommes pas obligés de l'entretenir et de la laisser décider à notre place. La peur nous affecte tous et se transmet souvent de génération en génération. Elle s’accentue à chaque événement douloureux subi directement ou au sein de notre entourage. Si nous ne sommes pas vigilants, nous risquons de la laisser prendre le dessus et nous envahir dans notre quotidien, parfois de façon irrationnelle. Si nous n'y prêtons pas attention, elle peut aller jusqu'à la panique, voire la psychose.


Cette période particulière a réveillé, chez nombre de personnes, des peurs très profondes. Nos médias ont pris un malin plaisir à les entretenir, voire à les accentuer. Les réseaux sociaux ont été - et sont encore - inondés de messages contradictoires, entretenant le flou dans nombre de foyers. Maintenir le peuple dans la peur.... facilite le pouvoir de l'ombre


Si vous avez suivi avec assiduité les informations sur les chaines publiques, peut-être vous êtes-vous laissé envahir par la psychose générée volontairement par les journalistes, les médecins, le gouvernement..... Je vous invite à regarder beaucoup plus en profondeur, derrière les messages contradictoires, les chiffres erronés du cv, les lois et décrets votés en arrière-plan pour inciter 7 milliards d'individus à se faire vacciner, pucer, pister jusque dans leur intimité, subir le crédit social comme en Chine et autres aberrations machiavéliques. Comment peut-on confier notre santé à un dictateur informatique qui règne en maître sur le monde médical ?


J'ai suivi le combat que mène depuis une décennie les lanceurs d'alerte. Preuves à l'appui, ils dévoilent la finalité de cette supercherie au niveau mondial. Tous les pays sont touchés, la France agit avec.... Cependant, comme d'autres personnes de mon entourage, je me refuse de rester dans ce cercle infernal lourd et contre-productif.


Que peut-on faire, chacun à notre niveau ?

Cet article n'a pas pour objectif de vous faire peur, bien au contraire, mais vous amener à réfléchir en toute objectivité, face à vous-même. Après un confinement subi ou bénéfique, je vous propose d'aller en introspection et mettre en lumière, en toute intégrité, les peurs qui sont remontées à la surface pendant et après cette pause obligatoire de confinement .


Identifier ses peurs

Personnellement, l'arrêt forcé de l'activité m'a amené à me poser les bonnes questions, à remettre tout à plat et à travailler sur mes croyances et mes peurs. Oui, comme tout un chacun, certaines ont refait surface et j'ai décidé de les regarder bien en face pour mieux les canaliser. Certaines sont encore bien ancrées, mais commencent à s'atténuer. Je ne peux que repenser au séminaire de Tony Robbins, lorsqu'il a parlé des peurs.

Plus nous l'entretenons, plus nous devenons prisonniers de notre propre peur, moins de liberté d'évolution nous avons. Il convient alors d’aller regarder, au fond de nous, quelles peurs dirigent notre ego…. Petit tour rapide des trois peurs principales actuelles et leur antidote

  • Peur de la maladie : peur principale de cette pandémie, elle a paralysé nombre d'entre nous. Nous avons tous bien sûr peur que notre corps ne puisse plus assumer notre quotidien, peur de la souffrance engendrée par les maux physiques et/ou psychologiques. Cette peur est légitime et tout à fait normale. Ce qui l'est moins est de l'entretenir au quotidien, ressassant sans cesse les risques du virus sur notre vie entière.

Cependant, l'antidote est accessible à ceux qui veulent bien l'utiliser : booster son système immunitaire. Avez-vous entendu les médias parler du système immunitaire ? NON. Savez-vous que la peur diminue son efficacité à lutter contre le virus ? Je vous laisse libre de voir où cette pensée vous mène...

  • Peur du manque : cette peur est très répandue. Je l'ai d'ailleurs encore travaillée pendant le confinement, tellement elle était ancrée. Cette peur nous amène à des aberrations liées directement à l’auto-sabotage.

Je vous propose un exercice très simple mais tellement puissant pour la rencontrer et l'apaiser. Je vous invite à lister tout ce que vous avez déjà, à commencer par des choses si évidentes (un toit sur la tête, une chambre confortable pour dormir, de la nourriture, des vêtements pour vous habiller.....). Le fait d'aller chercher TOUT ce que nous avons déjà montre que le manque n'est qu'une illusion. La phase suivante est de remercier, d'être dans une gratitude profonde pour ce que nous avons listé. En aucun cas cela est un dû, ces choses matérielles répondent à nos besoins physiologiques, la première marche de la pyramide de Maslow. Identifier tout ce que nous avons déjà attire l'abondance dans notre vie. La peur de manque l'éloigne.

  • Peur de ne plus avoir de travail : si mon entreprise fait faillite, je serai au chômage et je ne pourrai plus payer mon loyer. Même si je n'aime pas mon travail, j'ai un salaire tous les mois qui me permet de vivre.

Là encore, cette "sécurité" est toute relative, même si je la comprends parfaitement. Elle est légitime et liée directement à des croyances bien profondes inculquées par notre éducation, notre système économique actuel. Nous sommes en France et avons "la chance" d'avoir une solution de repli en cas de licenciement. Oui, ce n'est pas la panacée, mais si cela vous arrive vraiment (cette peur est-elle justifiée ? Votre entreprise a-t-elle déposé le bilan ?), c'est peut-être une occasion rêvée de réorienter votre vie en faisant un autre métier, en suivant une formation nécessaire à votre évolution. Ne serait-il pas intéressant de regarder le bon côté des choses ? Dans toute situation, il y a du positif. Se concentrer sur la solution plutôt que sur la perte favorise l'évolution de tout un chacun.


Que voulons-nous vraiment ?

Cette année 2020 est très particulière, sans doute le début d'un nouveau monde. Je ne parle pas d'un monde de bisounours, comme certains pourraient le décrire, non. Je pense à un monde axé sur les vraies valeurs humaines, la bienveillance, l'entraide, le partage. Cette pandémie mérite une attention toute particulière, car elle nous offre un véritable cadeau (oui, certains vont sauter au plafond). Cette pause imposée nous permet de revoir nos vrais besoins, nos vrais projets, nos vraies priorité. Si vous le souhaitez, je vous propose de nous rencontrer et approfondir le sujet, à travers mes ateliers d'écriture et arbre de vie.


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